𝗘𝘁 đ˜€đ—¶ đ—čâ€™đ—Œđ—» 𝘀’𝗼𝗰𝗰đ—Čđ—œđ˜đ—źđ—¶đ˜â€Š.

Et si on s’acceptait, tel qu’on est, Sans masque, sans fard, sans regret, Avec nos failles, nos faiblesses, nos combats, Ces cicatrices, ces marques qu’on cache sous nos pas. On se regarde dans le miroir, on soupire, On voudrait ĂȘtre quelqu’un d’autre, se fuir, Mais et si on s’acceptait, simplement, Sans chercher Ă  changer, sans se nier, humblement. Car chaque ride, chaque dĂ©faut, chaque blessure, C’est une histoire, un morceau de notre aventure, Un chapitre Ă©crit dans la peau, Un passage obligĂ© pour grandir, pour ĂȘtre beau. On peut se construire, sans se dĂ©truire, On peut Ă©voluer, sans se mentir, Prendre ce qu’on est, en faire une force, Sans pour autant laisser nos rĂȘves en torse. Et si on s’acceptait, avec nos doutes, Avec nos erreurs, nos chemins, nos routes, On pourrait bĂątir des chĂąteaux en nous-mĂȘmes, Des monuments de paix, loin des dilemmes. Parce qu’au fond, se construire, c’est s’aimer, C’est embrasser l’inconnu, s’apprivoiser, Ne pas chercher Ă  tout prix la perfection, Mais faire de nos failles une source d’inspiration. Alors, et si on s’acceptait, ici, maintenant, Avec nos forces, nos faiblesses, nos rĂȘves d’enfant, Pour construire un monde, un soi, un avenir, OĂč l’on serait enfin prĂȘt
 Ă  sourire.

Desmon Nankap

5/8/20241 min read

Solidarité, espoir, changement.